Commercialisée pour la première fois en 1980, l’histoire de l’eau Saint Georges s’écrit depuis deux générations grâce à la détermination de la famille Colonna d’Ornano.
Une volonté d’entreprendre transmise de père en fils. Alexandre père ayant eu l’intuition de mettre en bouteille la première eau de source Corse, levant toutes les embuches administratives et matérielles pour mener à bien cette entreprise.
Alexandre fils ayant eu l’audace de faire de cette eau un produit internationalement reconnu, la propulsant dans la cour des grands, avec le concours de Philippe Starck, qu’il rencontre en 1997.
Père et fils ont su développer l’entreprise dans l’équilibre de la tradition et de la modernité. Tradition d’une méthode de captage à la romaine digne des anciens, modernité d’un outil de production perpétuellement perfectionné et d’une communication résolument ancrée dans l’époque.
Il s’associe alors à son beau-frère Jean Livrelli pour réaliser cet ambitieux projet. Ensemble ils fondent la Société des Eaux du Col Saint Georges (SECG).
Le 10 janvier 1974, l’autorisation préfectorale est enfin acquise. Le plus difficile reste à entreprendre. Il faut attendre 1980 pour que la production et la commercialisation des premières bouteilles démarrent. Elles commencent avec un objectif d’un million de bouteilles. Aujourd’hui, près de dix neuf millions sont distribuées chaque année, dont 90% en Corse.
En 1989, l’entreprise investit et s’automatise pour se développer. La modernisation constante de l’outil de production est une des clés de sa réussite. Elle lui a permis de s’imposer progressivement comme leader en Corse.
En 1992 Alexandre Colonna d’Ornano décède. Catherine Colonna d’Ornano, son épouse, reprend alors les rênes de l’entreprise, avant de soutenir la relève de son fils en 1996. Elle l’encourage alors activement dans son projet de confier à Philippe Starck le design des bouteilles et continue par la suite à s’investir à ses côtés dans la bonne marche de la société.
Une volonté d’entreprendre transmise de père en fils. Alexandre père ayant eu l’intuition de mettre en bouteille la première eau de source Corse, levant toutes les embuches administratives et matérielles pour mener à bien cette entreprise.
Alexandre fils ayant eu l’audace de faire de cette eau un produit internationalement reconnu, la propulsant dans la cour des grands, avec le concours de Philippe Starck, qu’il rencontre en 1997.
Père et fils ont su développer l’entreprise dans l’équilibre de la tradition et de la modernité. Tradition d’une méthode de captage à la romaine digne des anciens, modernité d’un outil de production perpétuellement perfectionné et d’une communication résolument ancrée dans l’époque.
Les débuts
Début des années 1970, après avoir songé devenir brasseur sur le continent, Alexandre Colonna d’Ornano retourne en Corse, avec le rêve un peu fou de mettre en bouteille une eau de son pays. Son beau-père, qui est berger, lui recommande une source dont la pureté est appréciée depuis le temps des romains.Il s’associe alors à son beau-frère Jean Livrelli pour réaliser cet ambitieux projet. Ensemble ils fondent la Société des Eaux du Col Saint Georges (SECG).
Le 10 janvier 1974, l’autorisation préfectorale est enfin acquise. Le plus difficile reste à entreprendre. Il faut attendre 1980 pour que la production et la commercialisation des premières bouteilles démarrent. Elles commencent avec un objectif d’un million de bouteilles. Aujourd’hui, près de dix neuf millions sont distribuées chaque année, dont 90% en Corse.
En 1989, l’entreprise investit et s’automatise pour se développer. La modernisation constante de l’outil de production est une des clés de sa réussite. Elle lui a permis de s’imposer progressivement comme leader en Corse.
En 1992 Alexandre Colonna d’Ornano décède. Catherine Colonna d’Ornano, son épouse, reprend alors les rênes de l’entreprise, avant de soutenir la relève de son fils en 1996. Elle l’encourage alors activement dans son projet de confier à Philippe Starck le design des bouteilles et continue par la suite à s’investir à ses côtés dans la bonne marche de la société.