Alexandre Colonna d’Ornano fils est âgé de 21 ans, quand il arrive à la tête de l’entreprise familiale. Il n’attend pas pour faire ses preuves. Encouragé par sa mère Catherine Colonna d’Ornano, il apporte l’impulsion de sa jeunesse à l’entreprise. En 1997, son premier geste est d’investir fortement pour permettre le passage d’une production de bouteilles en PVC, à une production de bouteilles en PET, moins polluantes et plus résistantes.
Il saisit cette opportunité pour remettre en question le design des bouteilles d’eau Saint Georges. À la recherche d’un nouveau contenant qui reflète la qualité du contenu, il fait appel à Philippe Starck, avec qui commence une collaboration de long terme.
Le succès est au rendez-vous, autant d’un point de vue local, que national et international. On retrouve depuis lors l’eau Saint-Georges dans les rayons de la Grande Épicerie et à la carte du Water Bar de Colette, mais aussi sur les tables des plus grands restaurants du monde.
La production augmente en conséquence. Elle bondit de 7 millions de bouteilles distribuées en 1996 à 19 millions de bouteilles aujourd’hui. Aussi, en 2000/2001 et 2007/2008, de nouveaux captages sont réalisés pour accompagner le développement de la demande.
Il saisit cette opportunité pour remettre en question le design des bouteilles d’eau Saint Georges. À la recherche d’un nouveau contenant qui reflète la qualité du contenu, il fait appel à Philippe Starck, avec qui commence une collaboration de long terme.
Le succès est au rendez-vous, autant d’un point de vue local, que national et international. On retrouve depuis lors l’eau Saint-Georges dans les rayons de la Grande Épicerie et à la carte du Water Bar de Colette, mais aussi sur les tables des plus grands restaurants du monde.
La production augmente en conséquence. Elle bondit de 7 millions de bouteilles distribuées en 1996 à 19 millions de bouteilles aujourd’hui. Aussi, en 2000/2001 et 2007/2008, de nouveaux captages sont réalisés pour accompagner le développement de la demande.